Les causes à défendre sont multiples pour les avocats (es). Une avocate et son client détenu ont été surpris par un surveillant en train de faire l’amour dans un parloir de la prison de la Santé, ce lundi 3 janvier 2022. Ce qui surprend plus d’un, pourtant certains arrivent à se régaler.
Un surveillant curieux de la prison de la santé, à Paris, les a surpris en plein ébat sexuel dans un parloir, alors qu’il effectuait son service. L’agent a été intrigué par le mouvement des ombres derrière la porte vitrée d’un parloir. Et, afin de s’assurer de la sécurité de l’avocate et de son client, il a ouvert la porte et est tombé sur la scène d’une relation sexuelle entre les deux protagonistes.
Si la relation était bien consentie entre les deux adultes, elle pose tout de même deux problèmes. L’endroit où a commis l’acte reste un problème, les relations sexuelles sont bien autorisées aux détenus, mais uniquement dans les unités de vie familiale, pas dans les parloirs. Selon le journal 20 minutes.
Aussi, la relation trop intime entre un détenu et son avocat pose un problème déontologique pour ce dernier et pourrait porter atteinte à la dignité de la profession. Cela, même si les deux parties sont concubines comme cela semble être le cas, contenu ce moment spécial vécu et vaincu.
Le détenu et l’avocate risquent tous deux des sanctions. Le détenu, un homme d’affaires, pourrait écoper de quelques jours en quartier disciplinaire selon une source pénitentiaire citée par Le Parisien. L’avocate, elle, pourrait se voir appliquer une sanction par son ordre qui peut aller du blâme à la radiation.
Les hommes d’affaires aiment vraiment faire des affaires, même la prison reste un espace approprié, et les hommes et les femmes de loi plaident des affaires, disons toutes sortes.